Langon/Gabarret (Eauze)
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| L'entrée de la base américaine du Poteau, à Captieux. Ses militaires, ses bars à soldats ... |
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Sous le Second Empire, la Compagnie du Midi reçoit la concession d'un embranchement reliant Bazas, alors sous-préfecture de Gironde, à l'artère principale Bordeaux/Toulouse. Entrepris sans empressement au début du siècle, les travaux permettent d'ouvrir la section Bazas/Bourriot-Bergonce en 1904. Au-delà, les chantiers sont interrompus par la Première Guerre Mondiale et le tronçon suivant jusqu'à Gabarret ne peut être mis en service qu'en 1923, suivi par le lot d'Eauze à Auch, via Castéra-Verduzan. |
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Seule reste à terminer la jonction entre Gabarret et Eauze, sur laquelle l'infrastructure est virtuellement achevée en 1934, à l'exception d'une section de 5,5 km au départ de Gabarret où la voie d'Eauze doit longer celle de Nérac. Aucun accord n'étant intervenu sur la manière la plus économique de réaliser ce raccordement, la compagnie décide de suspendre la finition des travaux et la pose de la voie. Définitivement abandonnée, la section Gabarret/Eauze sera déclassée en 1941, de même que la plupart des lignes inachevées du réseau français. |
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| Ci-dessous, le tableau récap de l'historique de la ligne : |
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| Les gares de la ligne (km 0 depuis Bordeaux) : |
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| Mise en service : |
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| Longueur de la voie : |
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| Ligne non électrifiée à voie unique |
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 Langon/Gabarret - Profil de la ligne |
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| Langon/Gabarret - Horaires août 1924 |
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| Quelques images de la lignes : |
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| La cour d'arrivée de la gare de Langon, sur la ligne Bordeaux/Toulouse |
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| Gare d'embranchement et sous-préfecture de la Gironde, Langon reçoit une halle à voyageurs |
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| La gare du Nizan, exploitée conjointement par le Midi et les Economiques de la Gironde. En effet, d'ici part une ligne vers Saint-Symphorien, Facture et le Bassin d'Arcachon ... |
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| La gare de Bazas, où un auvent protège les voyageurs en attente |
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| Le train en provenance de Langon est à quai |
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| La cour de la gare de Bazas et l'accès à la passerelle permettant de traverser les nombreuses voies. Sur la droite, on aperçoit le début du quai marchandises |
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| La halle à marchandises et le quai de chargement. Les 'bros' avec attelage de mules (ici des boeufs) sont le moyen de transport le plus répandu alors |
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| La ligne arrive à Beaulac-Bernos |
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| La gare de Captieux |
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| Captieux est la dernière commune avant l'entrée dans le département des Landes |
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| Bourriot-Bergonce |
| (cliquez sur la photo pour accéder à une page sur cette gare d'embranchement) |
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| A Gabarret, la gare est sous la neige |
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| Vue générale de la gare de Gabarret, terminus de la ligne inachevée, vue ici côté cour |
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| Bien des années plus tard, si l'autre façade a gardé l'ossature de sa marquise, elle a perdu ses voies |
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Commentaires
1 gerard pacthod Le 27/11/2020
2 mathilde albin Le 22/08/2014
3 Jean-Charles Beaubois Le 23/03/2010
Ma grand-mère avait un maison a quelques kms de la gare de Roaillan,a la lecture de votre site,j'entends encore les sifflets des trains qui grimpant la côte croisaient les routes non gardées.
Bravo et merci pour ces souvenirs.
4 Stéphane BERTOLETTI Le 13/10/2009
5 marc guyet Le 17/09/2009